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|  Arrive quelques minutes plus tard.
*Slifer le dragon du ciel a été invoqué.Le pharaon commence à maîtriser ses pouvoirs, mais maintenant il faudrait qu'il se calme*
Tend sa hache du millénium.Son esclave mental arrive.
L'esclave mental:"Le pharaon a invoqué Slifer afin de se débarasser d'un voleur.Puis il a rejeté la jeune Tyris."
"Très bien.Où va-t-il maintenant?"
L'esclave mental:"Il s'est dirigé dans cette direction."
"Bien tu peux y aller."
L'eclave mental s'en va.Voit le pharaon un peu plus loin.Se rapproche dans sa direction.
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| "Laisse moi je te dis !"
resserre ses poings
"Là où je vais ça ne te regarde pas..."
*Pourquoi je pense à ça ? Seto me semble louche en ce moment...*
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| "pourquoi..."murmura t-elle."pourquoi rester seul? pourquoi éviter tout le monde...?"
Elle trotinait derrière lui pour le rattraper.
"ne vas pas autant vite s'il te plaît..."
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| ne se tourne même pas
"Hum... Tu es toute pardonnée... Maintenant laisse moi..."
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| Tyris pencha sa tête de côté.
*Tiens, je te tiens toujurs à ton coeur?*
Elle se mit à courir pour le rattraper.
"Bonjour Atem...je voulais te demander pardon pour tout....pour mettre comporter comme une sotte..."
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| [le long dragon disparait laissant le bandit en état de choc]
"Ne t'avises plus jamais de toucher aux personnes qui me tiennent à coeur !"
poursuit son chemin
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| Tyris ne put s'empêcher de sourire. *et ca rime en plus....*
Mais son sourire disparut en voyant le jeune garcon.
*C'est fini...il est trop en colère contre moi, on ne se parlera plus jamais...*
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| passe sur les bords du Nil
voit Tyris se faire agresser
*Hmph elle peut se defendre seule aprés tout...*
poursuit sa route
[Le voleur voit Atem et lui court aprés]
se retourne et prononce quelques paroles mystiques
[Un énorme et long dragon rouge à 2 gueules apparait]
"Je te laisse le choix voleur... Rentre chez toi ou meurt..."
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| Tyris était venue ici au hasard, se baladant depuis un moment sur le quai. Elle respira délicieusement l'air marin, admirant les oiseaux volant à ras sur l'eau du Nil. Elle observa un moment les pêcheurs ramener leur filet sur le quai. Elle s'assit sur un mur et ferma les yeux.
*Douce est la nuit, sur ma peau comme le soleil, la lune m'envahie et je quite le ciel...*chanta t-elle doucement.
Un moment, un brigand arriva derrière et plaqua sa main sale sur sa bouche.
"Silence ma douce, et il ne t'arrivera rien..."
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